mardi 3 novembre 2009

les plaisirs de la vie à Sofia , ville du sourire inexistant




















1 commentaire:

Anonyme a dit…

J'aime ton titre accrocheur et véridique, malheureusement.
Après tellement d'années vécues sous un système qui prône l'abnégation de la personnalité, de la créativité et de la liberté, on peut comprendre que le passé est encore dans leur présent : ils doivent renaître de leur mort intérieure, de leurs propres cendres.
Brrr! Il faut les aimer tels qu'ils sont.
Maman belge